🌼OURS




Alix Rampazzo : journaliste pour Villiers Village, mensuel de la ville de Villiers-le-Bel. En 2019, elle lance No Go Zone pour répondre à la frustration intellectuelle et sensible de devoir laisser inexprimées les réflexions critiques inspirées par les sujets traités sur la Seine Saint Denis. Grande confiance en l'exigence des lecteurs.





Houria Aomari : passionnée par la culture et par les arts, c'est avec l'envie de faire connaître au plus grand nombre les talents du territoire dionysien qu'elle rejoint No Go Zone.


 


 

Amélie Durand : auteure la nuit, tchatteuse le jour, Amélie utilise la littérature et l’humour pour traiter les thèmes de la rencontre, de la disparition, des images manquantes, du déplacement. Elle rencontre Alix et Marie au sein du Master de Création Littéraire de Paris 8 en 2015,  et flanque en 2019 un futur bling bling et écolo au quartier Pleyel pour le premier numéro de No Go Zone. Peint des chats dans sa chambre, héberge une araignée dans sa cuisine.

 





 

Marie Willaime : habitante d’une coloc à la frontière de Saint-Denis et Pierrefitte, Marie est performeuse, poète et chargée de coordination à l’Adada (une galerie à Saint-Denis). Elle rencontre Amélie et Alix au sein du Master de Création Littéraire de Paris 8 en 2015 et découvre en 2019 l'écriture journalistique comme expérience avec No Go Zone. Urbaine aux 3/4 temps, utopiste en Normandie le reste.



 


 

Coline Merlo : plume critique (théâtre, sémiotique plastique), rédactrice pour des revues culturelles du monde associatif (Cassandre/Horschamp, Archipels, Culture et démocratie), Coline vit à Saint-Denis, entre une coloc qui donne sur le canal et la Briche Foraine. En 2019, elle intègre un Master d’écriture à Marseille et participe activement au magazine No Go Zone. Guette l'occasion de se barrer à la campagne rejoindre les séparatistes autonomes. 





 

Délivrance Makingson : tailleur de pierre officiel des monuments parisiens, Délivrance est également peintre, illustrateur et très bon cuisinier. Habitué du 6b à Saint-Denis où se trouve son atelier officiel et habitant d’une péniche un peu plus loin sur le canal, Délivrance a fait émerger une galerie de personnages étonnants depuis les flots dionysiens, dont l’étonnant Nuage qui clôt le numéro 0, et la carte sensible et subjective du canal qui inaugure le numéro 1.




 

Frida Enciso : photographe et vidéaste arrivée à Saint-Denis depuis le Mexique, Frida fait des études d’art à Paris 8. Elle dit trouver un certain plaisir à capturer des objets banals, ceux qui sont toujours là. Pour le numéro 0 de No Go Zone, elle s’en prend directement à la tour Pleyel et en profite pour lui ajouter un horizon, comme un bord de mer. 




 


 

Jaky La Brune : peintre, peintre, et encore peintre, Jaky  grandit au milieu des toiles des pinceaux et des peintures et se voit bien vieillir en peignant. Ses thèmes de prédilection sont l’identité, mais aussi le sexe, la violence et la passion amoureuse. Alix découvre ses figures dansantes et déformées au sein d’une exposition dans une péniche, au milieu des années 2010.

 




Julien Rodriguez :  locataire de la Vie Sauvage à l’Île-Saint-Denis où il dessine et volumise non loin de Yacine Gouaref, Julien observe le réel du point de vue de sa construction, de son architecture. Dans sa série Dessins de mémoire : la marche sensible, il retrace par le souvenir ses expériences de la visite d’un lieu. Pour No Go Zone #0, il rend compte de sa promenade autour de la Tour Pleyel.

 





 

Michel Lascault : star des professeur.e.s d’arts plastiques au collège comme à la fac, Michel peint de mystérieux portraits, écrit des romans et compose des chansons de moins de deux minutes qu’il lui arrive d’illustrer par des vidéos. C’est l’inventeur officiel du running crabouillage (de l’anglais to run et du latin crabullum), qui consiste littéralement à peindre en courant, sans regarder sa feuille ou son instrument. Pour No Go Zone #0, Michel a crabouillé tout le quartier Pleyel, sous les applaudissements de plusieurs habitant.e.s. 



 

 



Michaël Sadoun, ou Mickey : journaliste pour Les Nouvelles d'Auber, hebdomadaire de la ville d'Aubervilliers, Mickey est aussi photographe et père de famille. Il grandit en Côte d’Ivoire et habite depuis plusieurs années un appartement du quinzième arrondissement qui a survécu à la hausse des loyers.  Au début des années 2014-2015, Mickey s’illustre dans le récit de ses déboires amoureux dans un blog intitulé “Chronique d'un trentenaire célibataire parisien. Juge avec malice, dénonce avec tendresse depuis lors. 




 


 

Nicolas Thoraval : habitant d’une coloc à la frontière de Pierrefitte et de Saint-Denis, Nicolas étudie le cinéma à l’Université de Paris 8 et met ses connaissances en pratique dans des courts métrages à forte valeur ajoutée philosophique. Humaniste moderne, il s’intéresse à plein de trucs comme l’histoire, l’actualité et l’art dionysien. Buveur de maté convaincu et dessinateur à ses heures.

 







Olivier Rosenthal : paisible chamane veillant officiellement sur les habitants du centre de Saint-Denis, Olivier peint et dessine partout et tout le temps. Parfois il peut lui arriver de photographier. Son sujet de prédilection sont les dionysiens dans leur ensemble, qu’il grave au stylo et au pinceau en train de s’amuser, manifester jouer de la musique, dans un état de joie et de promiscuité exaltante. 



 


 

Stéphane Ouradou : dionysien de souche, photographe et médiathécaire à La Plaine St-Denis, Stéphane travaille aussi la photographie argentique. Il développe ses paysages sobres et cinématographiques dans l'enceinte de l'ancienne orfèvrerie Christofle, où il a son laboratoire et son studio. Stéphane suit de près l’éclosion de la nature en ville, et sait en révéler la présence dans des recoins insoupçonnés. Il entretient des relations familiales et personnelles avec le quartier Pleyel qu’il a capturé de multiples façons pour le numéro #0 du magazine.





 

Vincent Croguennec : illustrateur, plasticien, partie prenante du collectif dionysien La Briche Foraine, Vincent flirte avec le Rajganawak (un chapiteau à Saint-Denis), vénère le Kroult (Monstre-esprit d'un cours d’eau à Saint-Denis) et collabore avec le journal CQFD. Ses scalpels et fusains le mènent sur des terrains variés : presse, spectacle vivant, documentaire, résidences, édition, expos. En automne 2019, il trouve le temps d’interpréter à sa façon la fiction d’Amélie Durand et l’analyse de Coline Merlo dans No Go Zone #0.




 

 
 

Hyacinthus (Yacine Gouaref à l’état civil) : Yacine dessine et perfectionne son niveau de latin non loin de Julien Rodriguez, à La vie sauvage, sur l'île Saint-Denis. Artiste-graveur et  illustrateur à la ville, on lui connaît cependant une carrière secrète d’explorateur temporel et spatial ; expérience dont il rend compte dans Les Cosmogoniales : un chant de Silène, récit en bande dessinée des origines du monde. En automne de cette même année 2020, il adopte le rôle de cartographe, mêlant ainsi son goût pour l’Histoire et l’étymologie au dessin personnel d’un nouveau coin de l’univers : Pleyel. En 2022, il collabore avec Amélie Durand pour faire émerger des fonds du canal de Saint-Denis son algue la plus dangereuse, la peste-d'eau.




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